lundi 7 janvier 2008

Bien plus qu'une première, une réussite !


Il faisait froid dans le Nord. Mais le Partouche Poker Tour en a réchauffé plus d'un. Pour son premier Super-Satellite de l'année, Partouche n'a pas lésiné sur les moyens. Aux dires de tous, le tournoi a été une véritable réussite. Sur le plan du jeu comme de l'organisation. Un grand bravo donc, à tous les acteurs.

Pour l'avènement du Partouche Poker Tour, le premier Super Satellite se déroulait au Pasino de Saint-Amand, le berceau du groupe Partouche. Tout un symbole. 334 candidats, 45 tables, 2 écrans géants, 4 plasmas et une arène finale qui n'avait rien à envier aux tables dorées d'outre atlantique, le Super-Satellite de Saint-Amand avait de quoi donner le vertige. Joueurs, spectateurs, croupiers et hôtesses étaient tous unanimes : « c'était impressionnant ! ». Les joueurs étaient venus des quatre coins de la France pour l'évènement. « Un Main Event à Cannes, ça ne se manque pas » confiait Thierry De Nimal, peu après son élimination. Tous avaient cet objectif en tête. D'où la réelle tension qui régnait dans la salle. Avant, pendant et même après. A 16H00, le tournoi commençait.

«A grand évènement, grands moyens»

Reçus comme des princes, les 334 joueurs ont apprécié l'évènement. Ce n'est pas une surprise au vu du dispositif que Partouche avait mis en place pour leur offrir le meilleur poker. Un bar était à leur disposition. Et si les joueurs étaient en pleine lutte, des hôtes étaient à leur service. A grand évènement, grands moyens. Notamment pour l'équipe de tournage qui était venue couvrir la compétition pour une prochaine diffusion sur la chaîne sportive Eurosport. En guise de maîtresse de cérémonie, l'élégante Elsa Fayer qui attisait tous les regards lors des breaks. Il y avait de quoi. Et en parlant de ravissante demoiselle, l'actrice et talentueuse joueuse de poker Alice Taglioni était venue tenter sa chance. En vain. Après deux petites minutes de jeu, la valse des perdants commençait avec l'élimination de Thierry De Nimal, dernier inscrit et premier parti, par François Tardieu. L'as du backgammon ira loin mais pas suffisamment pour se qualifier pour la Grande Finale de Cannes. Ce n'est que partie remise.

«Tout simplement royal»

Le tournoi s'est achevé à 4h00 après une finale incroyable. Sept joueurs sur une estrade tapissée de rouge entourée d'un public aussi présent que fin connaisseur. Tout simplement royal pour Remy Biechel, le grand et méritant vainqueur de l'étape. Et ce n'est pas une mais trois récompenses que cet habitué des tournois a eu : qualification pour le Main Event de Cannes, 15 000 euros et bises d'Elsa Fayer s'il vous plait. Rien de mieux pour bien commencer l'année.